« Je lègue aux jeunes peintres toutes les fleurs des champs, le bord des ruisseaux, les nuages blancs et noirs qui passent au-dessus des plaines, les rivières, les bois et les grands arbres, les coteaux, les routes, les petits villages que l’hiver couvre de neige, toutes les prairies avec leur magnifique floraison et aussi les oiseaux et les papillons »
Maurice Vlaminck.
Tout au long de ces dernières années, j’ai largement profité du magnifique héritage de ce grand artiste fauviste. J’ai parcouru les sentiers et les chemins avec le regard du peintre, emmagasinant comme un trésor d’enfant toutes les images ainsi récoltées.
Matériel utilisé:
– l’appareil photo, absolument sublime de facilité et d’opportunité depuis l’arrivée du numérique.
– la pochette de crayons de couleur pour petites mains, le stylo à encre de chine ou le simple crayon à mine graphite accompagné de quelques feuille de papier blanc, lisse et un peu épais éventuellement reliées entre elles.
– le chevalet d’extérieur, à planter directement sur le motif, accompagné du médium et du support de son choix. Mais les circonstances ne sont pas toujours des plus favorables et il est important de savoir s’adapter.
